Dans les médias
Salle comble au concert à Plouescat avec le pianiste Olivier Hutman et Gildas Scouarnec à la contrebasse : article du Télégramme du 21 avril 2023

Club JazzaFIP, mardi 17 janvier 2023 : programmation de la chanson "Valse à Hum" de Tuveri et Minvielle par le Valentina Casula Quartet : Valentina Casula (chant), Jean Luc Roumier (guitare), Nicola Cossu (contrebasse), Enrico Locci (batterie). Album Chiaroscuro (2022), Label DA VINCI JAZZ
"Le guitariste Jean-Luc Roumier au « concert croqué » du collège Nelson-Mandela de Plabennec". Le Télégramme du 21 novembre 2022
Revue de presse
Premier prix du concours de jazz de la ville de Rennes
Critique du CD "Charade" du duo Jean-Luc Roumier / Gildas Scouarnec par Domi Truffandier, revue Jazz Hot n°557, février 1999
"Mon premier sur quatre cordes, assure une pulsation organique, de celles que tout soliste aime à entendre derrière lui. Mon second, sur six cordes, par l'usage qu'il fait du jeu en octaves, par certaines inflexions aussi, évoque parfois celui de Wes Montgomery. Mon tout, une heure durant, entraine l'auditeur dans un univers musical feutré, où l'élégance est de rigueur, où la mélodie est reine ; et qu'elles sont belles, les mélodies d'"Angel eyes", "Come rain or come shine" ou "Pick yourself up" côté standards. De "Waltz for Trane" ou "Empreintes" côté originaux du bassiste. Une leçon d'élégance et d'intelligence musicale."
Domi Truffandier |
Critique du CD "Charade" du duo Jean-Luc Roumier / Gildas Scouarnec,par Vincent Bessières, revue So What, mars 1999
"{Gildas Scouarnec] propose aujourd'hui sa rencontre en duo avec le guitariste Jean-Luc Roumier, un guitariste inspiré par Wes Montgomery... et qui est d'ores et déjà une découverte attachante. A tous deux ils s'échangent des propositions, entrelacent leurs énigmes avant de s'en livrer les réponses. Joe Pass et NHØP précédemment, s'étaient livrés à pareil dévoilement dialogué et ludique.. Scouarnec et Roumier soutiennent la comparaison..."
Vincent Bessières |
A propos du duo Valentina Casula -Jean-Luc Roumier, article de Ludovic Basque à propos du concert "Voyage en Tsiganie" au Bataclan,à Paris, le 14 mai 2006, publié sur le site de RFI, 16 mai 2006
"Invités de dernière minute, la chanteuse sarde Valentina Casula et le guitariste Jean-Luc Roumier n’ont pas volé leur place. Habillée d’une magnifique robe aux couleurs et motifs psychédéliques, la chanteuse entame les premières pérégrinations de la soirée par l’Espagne. Sensuellement mélancolique, elle susurre un air de flamenco. L’assemblée retient son souffle, subjuguée. Le duo s’est chargé de faire revivre les chansons populaires du monde entier. Un détour par le jazz ou le blues, on s’éloigne parfois de la stricte musique gitane mais c’est la force de ce festival d’offrir une vision large de la culture tsigane. Les deux font preuve d’une complicité et d’un plaisir évident, ajouté à une maîtrise rare. Telle une paysanne bulgare, Valentina interprète un chant traditionnel d’une justesse bluffante. Son comparse, enroulé autour de sa guitare, semble posséder (au moins) quatre mains. On se surprend à lorgner au dessus de son épaule pour voir s’il n’a pas un complice caché. Mais non. Heureux, les spectateurs ponctuels ce soir !"
"Aprèm'Jazz : la voix de Valentina Casula", article de Gilles Carrière sur le site web du Télégramme, 21 février 2006
Le spectacle proposé par le duo Casula-Roumier ne repose pas sur une tonne d'artifices, mais sur de tout petits riens arrangés avec délicatesse et foi. C'est en apparence anodin, en réalité incroyablement riche et sophistiqué. Valentina Casula roucoule aussi bien en hindi, en russe qu'en breton. Au fil de son tour de chant, la dame se promène sur un somptueux bossa-nova (« Rosa ») avant de poser ses mots en slovaque et en occitan. La salle, manifestement secouée, écoute dans un authentique silence de cathédrale !
Un fin registre
L'autodidacte breton Jean-Luc Roumier (sans aucun doute parmi les meilleurs guitaristes de jazz en France), habille avec hargne les délicats accords baignant cette fin d'après-midi hivernale. L'ensemble, dans l'esprit, n'est pas sans rappeler le tout premier album international de Noa, bien avant que celle-ci n'aille se fourvoyer dans une variété aussi fadasse que paresseuse. Bonne idée : Valentina Casula et Jean-Luc Roumier promettent d'enregistrer un premier album sous peu. Reste à retenir l'attention des organisateurs de festivals : dans un fin registre qui tient autant au jazz qu'à la world music, le duo mérite vraiment leur attention !"
Gille Carrière, article paru dans l'édition imprimée du Télégramme du 21 février 2006
Un fin registre
L'autodidacte breton Jean-Luc Roumier (sans aucun doute parmi les meilleurs guitaristes de jazz en France), habille avec hargne les délicats accords baignant cette fin d'après-midi hivernale. L'ensemble, dans l'esprit, n'est pas sans rappeler le tout premier album international de Noa, bien avant que celle-ci n'aille se fourvoyer dans une variété aussi fadasse que paresseuse. Bonne idée : Valentina Casula et Jean-Luc Roumier promettent d'enregistrer un premier album sous peu. Reste à retenir l'attention des organisateurs de festivals : dans un fin registre qui tient autant au jazz qu'à la world music, le duo mérite vraiment leur attention !"
Gille Carrière, article paru dans l'édition imprimée du Télégramme du 21 février 2006
A propos du CD "Time remembered" avec Bruno Nevez et Jacques Pellen, article de Jean-Luc Germain, Jean-Luc Germain, le Télégramme du 14 mars 2007
"La perfection n'existe pas (heureusement peut-être), en revanche la grâce, c'est certain. Il suffit d'écouter cet album dans lequel fusionnent Jacques Pellen, Jean-Luc Roumier et Bruno Nevez. Au tout début des années 90, ces trois guitaristes exceptionnels furent associés dans une aventure musicale dont la grande qualité n'eut d'égal que sa courte durée. Pour ceux qui eurent la chance d'entendre cet éphémère miracle, alors que Bruno a perdu depuis l'usage de sa main droite, ces enregistrements brestois ont tout du Graal retrouvé. Fraîcheur, virtuosité, clarté, joie communicative, habitent chacun de ces treize titres où éclate en finesse, en douceur, le talent de compositeur, d'arrangeur et d'instrumentiste d'un ange aux ailes brisées du nom de Nevez".
Jean-Luc Germain, le Télégramme du 14 mars 2007 |